đŸ§ đŸ’„ Et si ton “problĂšme” n’était pas un problĂšme ?

Lettre d’un vieux sage Ă  toi, qui cherches des rĂ©ponses

Écoute bien.

Tu tournes en rond, tu cogites, tu t’Ă©puises Ă  essayer de rĂ©soudre un truc que tu ne comprends mĂȘme plus. Tu veux une solution, un plan, une porte de sortie. Tu veux faire disparaĂźtre ce que tu ressens comme un foutu problĂšme.

Mais parfois
 il n’y a rien Ă  « rĂ©soudre ».

Parce que ce n’est pas un problĂšme.
C’est une vĂ©ritĂ©.
Et tu refuses de la voir.

Tu veux que les choses soient comme tu veux, pas comme elles sont.
Tu veux que cette personne t’aime alors qu’elle est dĂ©jĂ  partie.
Tu veux que la vie soit juste alors qu’elle ne l’a jamais promis.
Tu veux que ton passĂ© change alors qu’il est figĂ©.
Tu veux une Ă©chappatoire lĂ  oĂč il n’y a qu’un miroir.

Et tant que tu t’obstines Ă  chercher une solution, tu restes coincĂ©.
Parce que ce n’est pas une Ă©quation Ă  rĂ©soudre.
C’est une vĂ©ritĂ© Ă  avaler. Une rĂ©alitĂ© Ă  regarder droit dans les yeux.

Et je ne dis pas que c’est facile.
Je dis juste que c’est le seul vrai dĂ©but.

Accepter, ce n’est pas abandonner.
C’est arrĂȘter de se mentir.
C’est enlever le masque.
C’est respirer plus lĂ©ger.

Alors arrĂȘte de tourner autour du trou. Regarde dedans.
Ce n’est pas la chute qui te blesse, c’est la rĂ©sistance Ă  tomber.

Tu ne guéris pas en fuyant. Tu guéris en affrontant.

VoilĂ  la vĂ©ritĂ© que la vie essaie de t’apprendre, lĂ , maintenant.
Tu veux aller mieux ?
Commence par arrĂȘter de te raconter des histoires.

Courage. Lucidité. Droiture.
Tu as ça en toi.
MĂȘme si tu l’as oubliĂ©.

Avec respect, franchise et un brin de provocation,
Guido SAVERIO
(vivre avec guido)


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Parce que parfois, un Ă©lectrochoc vaut mieux qu’un pansement.