Lettre dâun vieux sage Ă toi, qui cherches des rĂ©ponses
Ăcoute bien.
Tu tournes en rond, tu cogites, tu t’Ă©puises Ă essayer de rĂ©soudre un truc que tu ne comprends mĂȘme plus. Tu veux une solution, un plan, une porte de sortie. Tu veux faire disparaĂźtre ce que tu ressens comme un foutu problĂšme.
Mais parfois⊠il n’y a rien à « rĂ©soudre ».
Parce que ce n’est pas un problĂšme.
C’est une vĂ©ritĂ©.
Et tu refuses de la voir.
Tu veux que les choses soient comme tu veux, pas comme elles sont.
Tu veux que cette personne tâaime alors quâelle est dĂ©jĂ partie.
Tu veux que la vie soit juste alors quâelle ne lâa jamais promis.
Tu veux que ton passĂ© change alors quâil est figĂ©.
Tu veux une Ă©chappatoire lĂ oĂč il nây a quâun miroir.
Et tant que tu tâobstines Ă chercher une solution, tu restes coincĂ©.
Parce que ce nâest pas une Ă©quation Ă rĂ©soudre.
Câest une vĂ©ritĂ© Ă avaler. Une rĂ©alitĂ© Ă regarder droit dans les yeux.
Et je ne dis pas que câest facile.
Je dis juste que câest le seul vrai dĂ©but.
Accepter, ce nâest pas abandonner.
Câest arrĂȘter de se mentir.
Câest enlever le masque.
Câest respirer plus lĂ©ger.
Alors arrĂȘte de tourner autour du trou. Regarde dedans.
Ce nâest pas la chute qui te blesse, câest la rĂ©sistance Ă tomber.
Tu ne guéris pas en fuyant. Tu guéris en affrontant.
VoilĂ la vĂ©ritĂ© que la vie essaie de tâapprendre, lĂ , maintenant.
Tu veux aller mieux ?
Commence par arrĂȘter de te raconter des histoires.
Courage. Lucidité. Droiture.
Tu as ça en toi.
MĂȘme si tu lâas oubliĂ©.
Avec respect, franchise et un brin de provocation,
Guido SAVERIO
(vivre avec guido)
Nâoublie pas : si ce message tâa parlĂ©, like, partage, envoie-le Ă quelquâun qui a besoin de vĂ©ritĂ© plus que de consolation.
Parce que parfois, un Ă©lectrochoc vaut mieux quâun pansement.
