Tu veux savoir ce qui rapporte un max, plus que le pétrole, plus que la coke, plus que les abonnements à OnlyFans ? Ta souffrance. Oui, ta douleur, ton mal-être, ton burn-out à moitié glamour sur Instagram. Aujourd’hui, le monde ne veut pas que tu guérisses. Il veut que tu restes malade juste assez pour consommer, te plaindre, acheter encore, liker plus fort, commander ce putain de complément alimentaire magique à 49,90€. Voilà le deal. Ta souffrance, c’est leur business. Et toi, t’es l’actionnaire majoritaire… mais t’as même pas touché un dividende.
Le Cercle Vicieux du “Pas Assez Bien”
Regarde autour de toi. Tu scrolles en espérant trouver un truc qui te sauve. Un mantra à la con, un coach perché, un produit qui sent l’eucalyptus et les promesses vides. On te gave de contenu “inspirant” comme on gave un canard pour du foie gras émotionnel. Tu veux sortir du trou, mais tout ce que tu fais, c’est creuser avec une pelle vendue par quelqu’un qui t’a convaincu que le fond, c’est spirituel. Merde, réveille-toi.
Ton mal-être n’est pas une identité
T’as le droit d’aller mal. Bien sûr que t’as le droit. Mais en faire ton identité ? Non. Fuck no. Tu n’es pas “burnout”, t’es pas “hypersensible”, t’es pas “un enfant intérieur blessé qui attend d’être entendu”. T’es un être humain avec un potentiel de malade, en train de se faire siphonner l’énergie par des vendeurs de solutions temporaires. Stop. Respire. Tu veux un vrai conseil ? Coupe. Ferme tout. Marche 30 minutes sans ton téléphone. Appelle quelqu’un que t’aimes et parle pour de vrai. Bois de l’eau. Dors. Et quand tu te réveilles, demande-toi ce que tu ferais si t’étais déjà libre.
Reprends le pouvoir. Maintenant.
Tu veux être heureux ? Commence par ne plus être rentable pour ceux qui ont intérêt à ce que tu restes au fond. Investis dans ce qui ne se vend pas : ta discipline, ta clarté, ton courage. Le vrai bien-être, c’est pas sexy. C’est chiant, répétitif, parfois douloureux. Mais putain, qu’est-ce que c’est puissant. Et tu sais quoi ? Tu peux le faire. Pas demain. Maintenant. C’est là, sous ton nez, entre deux excuses que t’as bien répété pour éviter de changer.
Le rêve est simple : être bien, ici, maintenant.
T’imagines te lever sans ce poids invisible sur le torse ? Ne plus courir après le prochain truc qui pourrait peut-être te sauver ? Juste te sentir vivant. Stable. Présent. T’as pas besoin de mille étapes. Juste une vraie décision. Choisis-toi. Pas la version “je m’aime avec des filtres”, non. La version brute. Celle qui ose dire : “Je mérite mieux que ça. Et j’arrête de nourrir le système qui me détruit.”
Tu mérites plus que des likes sur ton mal-être. Tu mérites la paix. La vraie.
– Guido SAVERIO
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