Tu sais, c’est fou comme la société adore te coller une étiquette et t’enfermer dedans, comme si tu étais un produit défectueux à réparer à l’infini plutôt qu’un humain capable de guérir. On préfère te vendre un pansement, un traitement à vie, plutôt que de creuser la vraie racine du problème. Tu veux que je te dise la vérité ? Ça arrange tout le monde. Le système, les médecins, parfois même toi. Parce qu’admettre qu’il faut se bouger le cul, changer, vraiment changer, ça fait mal. Alors on reste dans le confort douloureux du connu.
Le rêve : se libérer une bonne fois pour toutes
Imagine un instant : te lever chaque matin sans cette épée de Damoclès au-dessus de ta tête. Plus besoin de médicaments, de rendez-vous, de consultations interminables. Tu es libre, vraiment libre. Pas juste en théorie, mais dans ta vie, dans ta tête, dans tes émotions. Ça, c’est le vrai résultat. Et c’est possible. Oui, toi aussi, tu peux sortir du cercle vicieux. Mais ça demande du courage.
La claque du quotidien
Regarde-toi dans le miroir. Cette fatigue, ce stress, cette douleur qui te colle à la peau, ce sont les signaux que ton corps et ton esprit te lancent. Tu peux choisir de les ignorer, comme avant, ou de les écouter et agir. Prends un stylo. Note trois choses que tu peux changer aujourd’hui, sans attendre un miracle. Ça peut être ta façon de manger, de respirer, de penser. Le plus petit pas vers la guérison est aussi le plus puissant.
Conseils de coach : stop à la victimisation, start à l’action
Ne cherche pas la solution miracle à l’extérieur. Elle est en toi. Chaque matin, rappelle-toi que tu es responsable. Le traitement à vie ? C’est la fuite. La guérison, c’est affronter le feu, faire le tri dans ta vie, couper les mauvaises branches, arroser les bonnes. Fixe-toi un objectif simple et atteignable. Une habitude à changer, une croyance à laisser tomber. Et célèbre chaque victoire, même minuscule.
La vérité c’est que tu mérites plus qu’une existence en mode survie. Tu mérites une vie vibrante, pleine d’énergie, sans chaînes invisibles. Alors arrête de subir, commence à agir. Soigne-toi, pas pour les autres, pour toi.
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Guido SAVERIO