Lettre d’un sage à un jeune —
« C’est douloureux de voir des gens avec qui tu étais si proche, devenir de parfaits étrangers »
Mon jeune ami, ma jeune amie,
Je sais que tu portes en toi cette blessure silencieuse : voir s’éloigner ceux qui ont partagé ton chemin, tes rires, tes secrets. Ces personnes qui, un jour, semblaient être des compagnons de route indéfectibles, et qui aujourd’hui, te paraissent comme des inconnus.
Je ne te mentirai pas : c’est douloureux. Ce sentiment de vide, ce poids dans la poitrine, cette nostalgie amère… C’est une épreuve, mais aussi une leçon profonde de la vie.
Les gens changent, les chemins se séparent, les priorités se transforment. Ce n’est pas un échec, ni une trahison. C’est simplement la nature mouvante des relations humaines. Parfois, il faut apprendre à lâcher prise, à laisser partir ceux qui ne peuvent plus marcher à tes côtés.
Mais garde en toi la richesse de ces moments partagés, les sourires, les discussions, les soutiens. Ils font partie de ton histoire, ils ont nourri ton âme. Sois reconnaissant pour ces chapitres, même s’ils sont fermés aujourd’hui.
Et surtout, continue d’ouvrir ton cœur. Le monde est vaste, et il y a des âmes prêtes à t’accueillir, à marcher avec toi, à devenir des amis fidèles.
Ne ferme pas la porte à la vie ni aux autres. Apprends à accueillir le changement avec douceur, même quand il fait mal. Car c’est dans ce mouvement que réside la sagesse.
Prends soin de toi, avance avec confiance. Les liens qui comptent vraiment se reconnaissent au-delà du temps et de la distance.
Avec toute ma bienveillance,
Guido SAVERIO
Vivre avec Guido
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