Lettre d’un sage à un(e) jeune :
La confiance ne se donne pas deux fois à celui qui l’a piétinée sans remords
Mon/ma cher(e),
Tu apprendras, avec le temps, que la confiance est comme un fil d’or : fin, précieux, mais fragile. Quand tu l’offres à quelqu’un, tu lui donnes une part de ton cœur, de ton honnêteté, de ta vulnérabilité.
Mais il arrive — et c’est inévitable — que certaines personnes piétinent ce don. Non pas par erreur, non pas dans un moment d’égarement qu’on peut comprendre et pardonner… mais avec insouciance. Sans remords. Sans retour.
Et c’est là que tu dois être fort(e).
Parce qu’aimer, pardonner, être patient(e), c’est noble. Mais te trahir toi-même au nom de cette noblesse, c’est t’abîmer. Il n’y a aucune sagesse à redonner ta confiance à quelqu’un qui l’a méprisée sans la moindre conscience. Ce n’est pas de la bonté, c’est de l’oubli de soi.
Protège ton cœur. Ce n’est pas un mur qu’il faut ériger, mais une porte avec une serrure. Tu peux encore aimer, accueillir, croire — mais pas à n’importe quel prix. L’amour propre doit toujours venir avant la peur d’être seul(e).
Et rappelle-toi : ce n’est pas de la rancune de s’éloigner de ceux qui t’ont blessé(e) sans regret. C’est de la dignité.
Prends soin de toi. Garde la tête haute. Et continue d’avancer sans regarder en arrière, sauf pour tirer les bonnes leçons.
Avec toute ma tendresse et mon respect,
Guido SAVERIO
Vivre avec Guido
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