Lettre d’un vieux sage à toi, jeune âme en construction
« La plupart des gens ne veulent pas la vérité. Ils veulent juste du confort. »
Oui, je commence cash. Parce que la vie, elle ne prend pas de gants. Elle te cogne, elle t’étire, elle te provoque. Et toi, comme beaucoup, tu veux que ça fasse pas trop mal. Tu veux des solutions rapides, des réponses faciles, et surtout : du confort émotionnel.
Mais laisse-moi te dire un truc, un vrai.
Le confort est une cage dorée.
Et la vérité ? Une claque. Froide. Sèche. Qui fait mal… mais qui réveille.
Tu dis que tu veux changer. Que tu veux réussir. Être libre. Être bien.
Mais tu refuses de regarder en face ce que tu tolères, ce que tu fuis, ce que tu repousses.
Tu te planques derrière des excuses, des distractions, des likes, des soirées, des « on verra demain ».
La vérité, ce n’est pas toujours ce que tu veux entendre.
Mais c’est exactement ce que tu as besoin d’entendre.
Alors écoute-moi bien.
👉 Tu n’es pas fatigué·e, tu es déconnecté·e de ce qui te fait vibrer.
👉 Tu n’es pas perdu·e, tu as juste peur d’avancer sans GPS.
👉 Tu n’es pas malchanceux·se, tu refuses juste de prendre ta part de responsabilité.
La vérité, ce n’est pas un câlin. C’est un miroir. Et la plupart des gens détournent les yeux.
Mais si tu veux une vie vraie, pas une vie de façade, tu dois te regarder en face. Te dire la vérité, aussi moche soit-elle. Et ensuite… te bouger.
Parce qu’entre ton « je veux » et ta réalité, il y a un pont.
Ce pont s’appelle : courage, discipline, responsabilité.
Et non, ce n’est pas confortable.
Mais c’est là que commence la vraie liberté.
Je ne suis pas lĂ pour te flatter. Je suis lĂ pour te secouer.
Tu veux grandir ? Alors choisis la vérité.
Même quand elle brûle.
Surtout quand elle brûle.
Avec toute ma franchise — et mon respect,
Guido SAVERIO
— Vivre avec Guido
Si ce message t’a touché ou réveillé, ne le garde pas pour toi.
Like. Partage. Et surtout, applique.
Le monde n’a pas besoin de plus d’endormis. Il a besoin de vrais éveillés.