Lettre dâun sage Ă toi, jeune Ăąme fatiguĂ©e de sa routine
La plupart des gens vivent pour le week-end.
Et rien que ça, câest une preuve accablante.
Tu bosses cinq jours pour enfin âvivreâ deux soirs. Tâattends le vendredi comme un condamnĂ© attend sa grĂące. Et le pire ? Tâas fini par trouver ça normal.
Mais laisse-moi te dire un truc, gamin : si tu vis pour le week-end, tâes en train de sacrifier 70% de ta vie pour quelques heures de pseudo-libertĂ©. Câest pas une vie. Câest une prison Ă ciel ouvert, avec un abonnement Netflix pour faire passer le temps.
Tu te lĂšves chaque matin en grognant. Tu vas Ă un taf que tu dĂ©testes Ă moitiĂ© (ou complĂštement). Tu joues un rĂŽle. Tu souris par automatisme. Et tu comptes les jours jusquâĂ ce satanĂ© vendredi. Et ça recommence. Encore et encore. Comme un hamster sur une roue bien huilĂ©e.
Mais je vais pas te plaindre. Non. Parce que tu nâas pas besoin de pitiĂ©. Tu as besoin de rĂ©veil.
La vĂ©ritĂ©, câest que tâas le pouvoir de changer.
Oui, câest dur. Oui, ça fait peur. Oui, câest inconfortable.
Mais reste là , dans ta routine ennuyeuse, et tu verras ce que ça coûte vraiment : ta vie entiÚre.
Personne viendra te sauver. Pas lâĂtat. Pas ton boss. Pas tes potes.
Câest Ă toi de te crĂ©er une vie que tâas pas envie de fuir cinq jours sur sept.
Un quotidien qui te fait dire âPutain, jâai hĂąte de demainâ, mĂȘme un mardi pluvieux.
Alors commence petit. Pose-toi des vraies questions. Bouge. Apprends. RĂȘve. Ose. RĂ©pare. CrĂ©e. MĂȘme si tâas peur. Surtout si tâas peur.
Parce que vivre, câest pas attendre le week-end.
Vivre, câest incarner chaque jour la personne que tu refuses dâabandonner.
Ă toi de jouer.
Guido SAVERIO
vivre avec guido
â Si ce message tâa parlĂ©, like-le, partage-le. Peut-ĂȘtre quâil rĂ©veillera quelquâun dâautre. Peut-ĂȘtre que ce quelquâun, câest toi.
