đŸ”„ Si tu vis juste pour le week-end, c’est que ta vie est en pause 5 jours sur 7.

Lettre d’un sage Ă  toi, jeune Ăąme fatiguĂ©e de sa routine

La plupart des gens vivent pour le week-end.
Et rien que ça, c’est une preuve accablante.

Tu bosses cinq jours pour enfin “vivre” deux soirs. T’attends le vendredi comme un condamnĂ© attend sa grĂące. Et le pire ? T’as fini par trouver ça normal.

Mais laisse-moi te dire un truc, gamin : si tu vis pour le week-end, t’es en train de sacrifier 70% de ta vie pour quelques heures de pseudo-libertĂ©. C’est pas une vie. C’est une prison Ă  ciel ouvert, avec un abonnement Netflix pour faire passer le temps.

Tu te lĂšves chaque matin en grognant. Tu vas Ă  un taf que tu dĂ©testes Ă  moitiĂ© (ou complĂštement). Tu joues un rĂŽle. Tu souris par automatisme. Et tu comptes les jours jusqu’à ce satanĂ© vendredi. Et ça recommence. Encore et encore. Comme un hamster sur une roue bien huilĂ©e.

Mais je vais pas te plaindre. Non. Parce que tu n’as pas besoin de pitiĂ©. Tu as besoin de rĂ©veil.

La vĂ©ritĂ©, c’est que t’as le pouvoir de changer.
Oui, c’est dur. Oui, ça fait peur. Oui, c’est inconfortable.
Mais reste là, dans ta routine ennuyeuse, et tu verras ce que ça coûte vraiment : ta vie entiÚre.

Personne viendra te sauver. Pas l’État. Pas ton boss. Pas tes potes.
C’est Ă  toi de te crĂ©er une vie que t’as pas envie de fuir cinq jours sur sept.
Un quotidien qui te fait dire “Putain, j’ai hĂąte de demain”, mĂȘme un mardi pluvieux.

Alors commence petit. Pose-toi des vraies questions. Bouge. Apprends. RĂȘve. Ose. RĂ©pare. CrĂ©e. MĂȘme si t’as peur. Surtout si t’as peur.

Parce que vivre, c’est pas attendre le week-end.
Vivre, c’est incarner chaque jour la personne que tu refuses d’abandonner.

À toi de jouer.

Guido SAVERIO
vivre avec guido